Aventure coaching

Intégrer une équipe de direction

Savoir s’adapter à chacun

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Intégrer une équipe de direction

Intégrer une équipe de direction

Coach : Vous avez rejoint il y a quelques semaines le comité de direction ; qu’attendez-vous de ce coaching ?

Nadine : Depuis un mois, je me débats avec Marc, le Directeur Financier, sur un dossier d’investissement à forts enjeux : je tourne en rond, nous nous opposons sur des valeurs profondes et importantes pour moi ; il fuit le débat…

Coach : Que ressentez vous dans cette situation ?

Nadine : Beaucoup de colère

Coach : au-delà de l’opposition technique ou sur les valeurs, qu’est-ce qui vous dérange le plus chez Marc ?
Nadine : Il est très rigide. Il m’insupporte…

Coach : Il parait que « ce nous détestons chez les autres nous appartient aussi ».

Nadine : Je ne comprends pas…

Coach : Oui, une ombre est souvent une partie de nous que l’on se cache à soi-même…

Nadine : Vous voulez dire que je suis aussi rigide que Marc ?!!!

Je propose alors à Nadine un travail pour découvrir et apprivoiser cette « ombre » : trouver la « perle cachée » derrière cette zone ombragée, moduler cette « rigidité », puis la transformer en ressource…
(Cf outils : « découvrir et apprivoiser son ombre« )

Trois semaines plus tard :

Coach : « En quoi, puis-je vous aider ? »

Nadine : J’ai découvert une nouvelle manière de fonctionner avec Marc : nous avons trouvé une solution gagnante ensemble et nous l’avons validé avec le DG ! Et je devine d’autres « ombres » dans mes relations avec chaque membre du comité de direction. Alors j’essaie à chaque fois, de refaire le chemin parcouru ensemble autour de ma rigidité. Je découvre vraiment un nouveau monde.

Coach : J’ai envie de vous faire une confidence : il parait que « ce que nous apprécions chez les autres est quelque chose que nous portons aussi en nous ! »

Nadine : Ce sont nos zones ensoleillées !?

Dans les trois séances qui ont suivi, Nadine a travaillé sur des situations qui lui ont permis de développer de la confiance avec des homologues de sa génération sans toujours plonger dans une « complicité fraternelle et envahissante », d’accepter de « ne pas tout savoir à la place de l’autre », de ne « pas toujours tout réussir »…